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Carnets à personnaliser, des Hommes et des savoir-faire 4/4

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Les carnets à personnaliser présentent dans ce dernier article, les métiers de création et de conception en imprimerie : maquettiste, photographe/photograveur, graphiste et directeur artistique.

Maquettiste : il y a les maquettistes modeleurs/modeleuses et les maquettistes d’édition. Le/la maquettiste modeleur/modeleuse réalise des maquettes pour vérifier la faisabilité des demandes ainsi que les conditions de leurs réalisations. Ce métier nécessite de connaître parfaitement la chaine graphique et de savoir travailler avec des supports divers et variés. Le/la maquettiste d’édition assure la mise en page, les mises en forme graphiques, d’un imprimé en agençant le texte et les images. Ce travail est le préambule à une impression de qualité.

Photographe/photograveur : le/la photographe/photograveur réalise des prises de vue d’objets, de sujets, de produits… selon les demandes. Son travail vise à retranscrire la réalité en image tout en lui apportant une touche artistique reflétant la volonté du client. Il/elle est amené(e) à travailler en studio photo ou en intérieur et/ou extérieur, plus contraignant pour les prises de vue (météo, lumière non adaptée, angle de vue…). Il/elle travail en collaboration avec le service Prépresse pour la réalisation des plaques offset qui serviront à l’impression. Pour ça, il/elle prépare les fichiers en fonction du type d’impression, lance des essais, retouche les images, etc.

Graphiste : le/la graphiste transcrit à l’aide de logiciels de PAO et de DAO les idées, images qui correspondent à la demande du client. La difficulté de ce métier réside dans la compréhension et la traduction de ce que le client a imaginé. Il faut à la fois être créatif tout en intégrant les contraintes d’impression et de reproduction.

Directeur(trice) artistique : le/la directeur/directrice artistique conçoit et supervise la création graphique d’un projet. C’est-à-dire, il/elle élabore le support en fonction du message, crée des identités visuelles, des chartes graphiques, convainc le client de la valeur du projet et manage les équipes de graphistes.

Carnets à personnaliser, des Hommes et des savoir-faire 3/4

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Dans ce troisième article sur les métiers des arts graphiques, les carnets à personnaliser dévoile quatre autres métiers plus ou moins connus en imprimerie : doreur, papetier(ière), massicotier(ière) et façonnier.

Doreur : la dorure est une technique d’ennoblissement d’un ouvrage. Le/la doreur est spécialisé(e) aux techniques de dorure des couvertures et intérieurs des ouvrages. La dorure sur tranche fait appel à un autre artisan. Avec les évolutions technologiques, le/la doreur peut maintenant choisir parmi une large gamme de dorure. Il y a la dorure classique en or ou en argent et ce que l’on appel les colorit. Ces films pigmentés permettent au doreur d’effectuer une dorure en violet, bleu, cuivre, vert… .

Papetier(ière) : le/la papetier(ière) est en charge du travail à façon. C’est-à-dire tout ce qui n’est pas automatisable. Ce travail manuel, est notamment employé pour des finitions nécessitant des manipulations particulières impossibles de programmer en machine ou bien pour des travaux délicats.

Massicotier(ière) : ce métier est un métier à part entière. En fonction du dossier de fabrication, il/elle repère et identifie les produits à coupe. Le/la assicotier(ière) prépare le plan de coupe qu’il/elle programme ensuite sur le massicot. Pour faciliter son travail, le/la massicotier(ière) peut s’aider d’une table aspirante pour déplacer les piles des feuilles à couper. Egalement, il/elle dispose du taqueuse qui vient tasser les palettes pour une coupe uniforme sur toutes les feuilles. C’est aussi le/la massicotier(ière) qui vérifie régulièrement la qualité et évalue la conformité du produit coupé avec la demande.

Façonnier : est un terme générique pour désigner les opérateurs travaillant sur la finition d’un produit imprimé et supervisant le travail des machines : massicot, plieuse, encarteuse… . En fin de réalisation, il/elle s’occupe également du nettoyage de la machine car au-delà de la qualité du travail chaque opérateur se doit de contrôler son poste de travail et de signaler au chef de production une défaillance quelconque. En imprimerie on parle souvent de façonnier polyvalent car il/elle occupe une fonction nécessitant de savoir utiliser plusieurs machines pour obtenir la finition souhaitée.

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Les carnets à personnaliser Mypaperbook continuent de vous faire découvrir les métiers des arts graphiques en imprimerie avec le deuxième volet de cette saga…

Pliage/Coupe, Encartage/Couture, Reliure/Dos carré collé

Conducteur(trice) encarteuse/piqueuse : le/la conducteur(trice) encarteuse-piqueuse transforme les feuillets imprimés en brochure, magazine, plaquette en assemblant, selon le dossier de fabrication, les cahiers entre eux. Ces cahiers assemblés constitueront l’intérieur de l’ouvrage dans l’ordre numéraire des pages. Il est possible d’effectuer un deux points métal pour relier les cahiers ou bien de les laisser ainsi pour qu’ils puissent être cousu ou broché.

Conducteur(trice) chaine de brochage : le/la conducteur(trice) d’une chaine de brochage effectue la reliure d’un imprimé. Il/elle assemble ainsi de façon définitive les cahiers entre eux. Au cours de ce processus il/elle est amené(e) à utiliser différentes machines comprises dans la chaine de brochage : emboiteuse, massicot, thermo-relieuse… .

Conducteur(trice) plieuse : le/la conducteur(trice) récupère les palettes sur la zone de séchage après impression. Il/elle effectue le calibrage de la machine en fonction du dossier de fabrication. Le/la conducteur(trice) utilise en fonction du type de pli souhaités, la quantité à produire, etc. une plieuse à couteau ou plieuse à poche ou une plieuse à couteau et à poche. Certaines plieuses son automatique est récupère directement les palettes de feuilles, d’autres nécessite que l’opérateur(trice) marge à la main. Egalement, l’opérateur(trice) peut effectuer de légères entailles sur les cahiers pour faciliter le travail du conducteur(trie) de la chaine de brochage.

Conducteur(trice) couseuse : le/la conducteur(trice) s’occupe du calibrage de la machine qui, une fois les cahiers assemblés, coud les cahiers pour les fixer. Cette étape constitue une des nombreuses parties du produit fini et est à différencier de la couture Singer considérée comme une finition à part entière

Conducteur(trice) couverturière : l’opérateur(trice) vient encoller une feuille imprimé sur un carton aux dimensions de l’ouvrage. Cette technique est valable uniquement pour les couvertures rigides.

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Les carnets à personnaliser Mypaperbook sont le fruit d’un savoir-faire unique perpétué depuis 1935. Nos artisans sont les véritables ambassadeurs de ces expertises uniques. Découvrez ces métiers qui constituent le cœur d’une imprimerie.

Prépresse – CTP

Opérateur monteur CTP/conformité : cet opérateur prépare les documents en fonction du type d’impression ou de marquage prévu (sérigraphie, offset, gravure…). Pour cela, il met en page le document en veillant aux marges d’impression et peut également l’enrichir si nécessaire (rajout d’images, de textes, corrections…) ; tout en respectant les règles typographiques et la charte graphique du client. Cet opérateur contrôle aussi la conformité du document finalisé pour une impression optimal. Enfin, il étalonne et contrôle le système de gravure des plaques d’impression qui seront ensuite utilisées pour les presses offset.

A noter : un Chef d’équipe CTP coordonne l’activité des équipes au sein de ce bureau.

Presse

Conducteur presse offset : le conducteur de presse offset a pour principales missions :

  • Prépare les matières premières nécessaires à l’impression (encres, papier, plaques…), également préparation des teintes
  • Respect du dossier de fabrication et de la qualité de l’impression
  • Configure la presse offset en fonction du travail d’impression
  • Gestion des flux et des produits C’est donc un véritable technicien qui connaît toutes les possibilités de création en fonction de cette presse.

Il peut donc informer sur les contraintes techniques selon les impressions souhaitées.

Conducteur sérigraphie : le sérigraphe a pour mission de réaliser les écrans qui serviront à l’impression sérigraphique. Ces écrans sont constitués d’un maillage plus ou moins large qui sera insolé. Ainsi, certaines mailles laisseront passer l’encre et pas d’autres ce qui donnera le motif souhaité. Egalement, il prépare les encres, les teintes pour l’impression, règle la machine puis dispose les écrans.

Conducteur numérique : le conducteur prépare l’impression sur la presse numérique en fonction du dossier de fabrication. Il contrôle durant tout le processus la qualité et la conformité de l’imprimé. Son travail s’effectue à partir d’un ordinateur compte tenu de l’informatisation du processus.

Carnets personnalisables, une histoire qui s’écrit…

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Carnets personnalisables et l’invention de l’écriture

Les carnets personnalisables sont des carnets de notes sur-mesure, vous permettant d’écrire vos pensées, vos idées… . Mais, ces carnets ont eu besoin pour voir le jour d’une invention fondamentale : l’écriture.

L’écriture remonte il y a plus de 6000 ans. C’est avec l’émergence de sociétés hiérarchisées et structurées que l’écriture a vu le jour. En effet, avec la sédentarisation et l’accroissement des échanges commerciaux, les hommes ont dû apprendre à formaliser ces transactions. L’écrit a aussi servi à la transmission de la mémoire collective et de la retranscription de la parole par le billet de récit, de contes et d’histoires.

On peut distinguer plusieurs types d’écriture :

  • L’écriture analytique : est composée de pictogrammes ou de signes pour désigner un mot ou un concept. C’est le cas pour les pictogrammes sumériens. Egalement, il était possible de les voir assembler formant ainsi des idéogrammes
  • Les hiéroglyphes égyptiens : sont composés de pictogrammes mais aussi de phonogrammes qui représentent un son et de « déterminatifs » qui servent à la compréhension du texte en indiquant aux lecteurs s’il s’agit d’un pictogramme ou d’un phonogramme
  • L’écriture cursive : a été créé pour plus de rapidité en liant davantage les signes. De cette pratique est naît l’écriture que nous pratiquons aujourd’hui

Pour codifier cette écriture, des règles vont apparaître dont notamment l’alphabet. Il permet de rassembler un ensemble de signes qui une fois assemblés forment une combinaison désignant un mot. Ainsi, ce référentiel nous permet de nous comprendre et de transmettre notre pensée.
A noter : il existe plusieurs alphabets à travers le monde.

Carnets personnalisables, un support adapter à l’écriture

Pour fixer cette écriture il a fallu inventer les supports pour la recevoir. Ainsi, les tablettes d’argile, la pierre, les papyrus et le papier sont venus pour figer les écrits et permettre de les transmettre ou de garder une trace.

Les carnets personnalisables sont ce que l’on pourrait appeler « un support des temps modernes ». Avec le développement des techniques d’impression et des qualités de papier, les pages intérieures des carnets Mypaperbook facilitent l’écriture pour que celle-ci reste un plaisir et se perpétue encore pour les siècles à venir.

Carnets personnalisés, l’impression Offset ou UV ?

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Carnets personnalisés et l’impression Offset

Le terme « offset » vient de l’anglais « décalque ». En effet, ce procédé consiste à transférer de l’encre d’un support à un autre. C’est également l’une des techniques d’impression les plus utilisées en impression. Elle intervient notamment pour la création des lignées des pages intérieures des carnets personnalisés Mypaperbook.

Avant toutes impressions, la première étape est la création des plaques contenant le négatif des motifs, pages… à imprimer. La fabrication de ces plaques s’effectue au CTP (computer to plate). Une plaque en aluminium est insolée pour obtenir un négatif de la forme à imprimer. Ces plaques peuvent être nettoyées puis réutilisées.

Une fois fabriquées, elles sont insérées dans la machine offset pour chaque couleur : CMJN soit cyan, magenta, jaune et noir. Il y a donc autant de plaques que de couleurs présentent sur la machine offset.

Il faut également distinguer deux types d’impression offset : offset feuilles et offset rotative. L’offset feuilles est une impression qui se fait soit avec des feuilles coupées ou bien avec des bobines. Ce procédé est utilisé pour des petits tirages à l’inverse de l’offset rotative qui peut aller à des millions d’exemplaires.

Carnets personnalisés et l’impression offset UV

L’impression UV est une technique qui permet entre autre, l’ennoblissement d’un imprimé. On parle d’impression offset pour l’UV car le procédé reste le même : création de plaques négatives insérées ensuite dans la machine pour chaque encre.

La grande différence avec l’impression offset est dans l’utilisation d’une encre polymérisée qui permet un séchage immédiat grâce à des sécheurs Ultra Violet. On peut également imprimer sur un plus large choix de supports : papier, carton, plastique, toile, pvc, etc.

En faisant disparaître le temps de séchage les imprimeries diminue les zones de séchage. Avec l’UV est également possible d’utiliser des vernis, des encres spécifiques pour donner plus d’effets à l’imprimé. Toutefois, cette technique reste plus onéreuse que l’impression offset traditionnelle.

Carnets personnalisables comme projet spécial

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Quand parle-t-on de projet spécial ?

Les carnets personnalisables rentrent dans un processus de production défini et bien précis. Chaque étape est normée puis ordonnée pour aboutir à la création des carnets. Les seuls éléments pouvant évoluer sont : la couleur sur tranche (7 coloris au choix), le logo ou initiales à apposer et le type de couverture (souple ou rigide).

Ces différents points de changements sont compris dans le processus global. Alors, dans quel cas un projet sort de ce cadre pour devenir un projet spécial ?

Plusieurs variables peuvent faire naître un projet spécial. Une couverture différente, des pages intérieures spécifiques, des logos avec des effets particuliers, une page de garde spéciale… .

Dans ces cas, notre chef de projet reçoit la demande puis étudie la faisabilité des carnets avec les ateliers. Une fois cette étape réalisée, une maquette sous format PDF est envoyée au client pour validation de sa part. Si celui accepte il donne son accord pour le lancement en production.

En revanche, si le client désire une maquette physique pour mieux se rendre compte du carnet,  une maquette en blanc est alors créée. Ainsi, le carnet final peut être tenu dans les mains. A noter, cette maquette est facturée en plus de la prestation globale.

Les possibilités de création pour les carnets personnalisables

Lorsque les carnets personnalisables Mypaperbook deviennent un projet spécial, deux cas de figure sont possibles : le client sait ce qu’il veut précisément ou bien, il a une idée qu’il souhaiterait développer.

Dans ce second cas, nous pouvons lui apporter de l’aide grâce à notre volet de conseil et aussi de réalisation via une prestation de notre studio de création. Le studio est composé d’une équipe pluridisciplinaire, qui vous accompagnera de la création à la conception finale du projet. Fort de 20 ans d’expérience, le studio peut donner vie à chacune de vos idées, concepts, envies… et les transposer dans vos carnets personnalisables Mypaperbook.

Carnets personnalisés et la chaine graphique en imprimerie

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Les composantes de la chaine graphique

L’on parle souvent de la chaine graphique en imprimerie. On emploie d’ailleurs ce terme dans le processus de création des carnets personnalisés. Alors, qu’est-ce que la chaine graphique ?

La chaine graphique doit être vue comme un concept, une expression au sens large regroupant les différentes étapes de fabrication d’un imprimé. Employé dans les industries graphiques, ce terme permet notamment de lister les professions intervenant de la conception à la réalisation du projet.

Pour mieux cerner les maillons de cette chaine, voici les quatre grandes phases qui la composent :

  • phase stratégique, de réflexion
  • phase de création
  • phase de production
  • phase d’expédition

D’après les auteurs de l’ouvrage « La chaîne graphique », ces quatre grandes phases peuvent elles-mêmes se décomposer en huit étapes :

  • stratégie
  • création
  • image et textes
  • mise en pages
  • prépresse
  • finition et reliure
  • distribution

L’arrivée de l’informatique est venue renforcer cette chaine en facilitant les techniques mais aussi les échanges entre les artisans. Egalement, des logiciels ont permis d’optimiser le traitement des données et des fichiers. Par exemple, la phase de routage est devenue plus automatique avec le publipostage facilitant par la suite l’expédition de mailings.

Cette chaine graphique forme donc un tout, une mécanique en accord avec les métiers pour réaliser les projets confiés.

Carnets personnalisés, leur place dans la chaine graphique

Dans le processus global qui donne naissance à vos carnets personnalisés, les quatre grandes phases de la chaine graphique interviennent différemment en fonction de votre projet.

En effet, pour schématiser ce cycle, découvrez ci-dessous les quatre grandes phases de la chaine graphique pour Mypaperbook :

carnets personnalisés

 

Les deux premières phases n’interviennent donc que dans une production d’un projet spécial. Mais que signifie un projet spécial ?

Un projet devient spécial lorsqu’il sort du processus normé des carnets personnalisés. Par exemple, une création ou des retouches de logos, de visuels, des changements dans les pages intérieures, de la page de garde… . Notre chaine graphique intègre un grand nombre de métiers nous permettant ainsi de répondre à de très nombreuses demandes.

Carnets personnalisés, les couleurs de référence

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Le guide couleur mondial de référence : Pantone

Le guide Pantone est une référence pour de nombreux professionnels. Il est aussi utilisé dans la création des couleurs sur tranche fluos des carnets personnalisés. Mais, que signifie Pantone ?

Pantone est ce que l’on appel le guide de référence de la couleur. Il a été créé en 1963 par Lawrence Herbert qui souhaitait uniformiser la perception de la couleur. En effet, chaque individu interprète différemment la couleur, ce qui peut créer des incohérences dans la perception final.

L’invention donc réside dans la création d’un système d’identification et de classification universel des couleurs. Chaque couleur est décomposée, illustrée puis numérotée dans un document global. Il suffit ensuite de choisir la référence et de l’utiliser. Cela facilite énormément les échanges et la communication pour les professionnels des arts graphiques.

Ces couleurs ont aujourd’hui dépassées la sphère des arts. Elles sont maintenant présentent dans le milieu de la mode, de l’industrie, de l’architecture et décoration d’intérieur… . Ce référentiel évolue sans cesse et propose un large choix pour un grand nombre de domaines. Tous ces éléments en font donc le choix numéro un pour de nombreux professionnels.

Toutefois, ce guide ne fût par le premier. 271 ans plus tôt en 1692, A. Boogert rédigea un ouvrage de 800 pages listant les mélanges possibles en aquarelle. Cet artiste hollandais s’intéressa à la fabrication de la couleur et aux modalités permettant de les obtenir. Pour illustrer chacune de ses créations, il peigna un exemple à côté de la description de la couleur. Ce livre riche se voulait éducatif et pédagogique mais ne fût publié qu’à un seul exemplaire. Cet unique ouvrage est aujourd’hui conservé à la bibliothèque Méjanes d’Aix-en-Provence.

Carnets personnalisés, l’utilisation de couleurs Pantone

La couleur prend tout son sens pour les carnets personnalisés Mypaperbook aux tranches vert fluo, rose fluo, jaune fluo et orange fluo.

Pour ces carnets, une machine spécifique est utilisée pour appliquer, à l’aide d’un rouleau, l’encre sur les tranches. Pour obtenir le meilleur rendu, il faut donc choisir la couleur la plus adéquate pour ce type de technique. Les couleurs Pantone offrent cela et permettent de conserver un visuel flamboyant sur les carnets personnalisés Mypaperbook.

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Les traitements de surface

Lorsque l’on parle des traitements de surface cela implique une modification de l’imprimé. Cette étape permet de donner des effets visuels, du relief ou bien de mettre en valeur une image, un logo.

Un traitement est également fait pour protéger l’imprimé contre l’usure, les accrocs ou pour augmenter leur résistance au pliage (ajout d’un pelliculage).

Voici plusieurs traitements de surface utilisés en imprimerie :

Vernissage
Le vernissage est l’une des techniques la plus utilisée, elle consiste à déposer une couche de vernis sur un imprimé. Il permet de donner des effets visuels (par exemple, vernis sélectif pour faire ressortir des zones bien précises), accélérer le façonnage et faire office de protection. Egalement, il existe trois types de vernis que l’on utilise selon le rendu souhaité : vernis gras offset ou vernis machine, vernis acrylique ou vernis à l’eau et le vernis UV.

Pelliculage
Le pelliculage consiste à appliquer une pellicule plastique sur une page imprimé ou une couverture souple pour les protéger. Outre la protection apportée, le pelliculage est aussi une technique pour embellir un ouvrage. Pour cela, plusieurs variétés de pellicules existent : brillant, mat, gaufré ou texturé.

Dorure ou marquage à chaud
La dorure est une technique purement esthétique. A l’aide d’un fer à dorer (le fer est préalablement gravé à l’image de ce que l’on souhaite apposer) on transfère une couche de matière très fine sur l’imprimé pour un aspect visuel en relief et un toucher unique.

Gaufrage
Le gaufrage est la technique par excellence pour donner du relief à un imprimé. Il peut soit faire ressortir une forme (gaufrage positif) ou bien, donner un aspect enfoncé (gaufrage négatif). Il existe aussi le gaufrage sculptural qui mélange les deux précédents types de gaufrage. Pour réaliser un gaufrage une forme en relief « positive » est pressée contre le papier et contre cette même forme en « négative ».

Carnets personnalisés, la personnalisation des couvertures

Pour les carnets personnalisés, les couvertures peuvent être marquées à chaud ou bien gaufrées. Pour le marquage à chaud, trois couleurs sont disponibles : or, argent ou noir brillant. Quant au gaufrage, il apporte du relief avec une forme en « positif » ou bien en « négatif ».

Ces procédés permettent d’embellir la couverture mais aussi de faire ressortir les éléments apposés. C’est donc un bon moyen de mettre en valeur son image, en exposant le logo de son entreprise sur les carnets personnalisés.

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