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Carnets personnalisés, l’impression Offset ou UV ?

carnets personnalisés - customizable notebooks

Carnets personnalisés et l’impression Offset

Le terme « offset » vient de l’anglais « décalque ». En effet, ce procédé consiste à transférer de l’encre d’un support à un autre. C’est également l’une des techniques d’impression les plus utilisées en impression. Elle intervient notamment pour la création des lignées des pages intérieures des carnets personnalisés Mypaperbook.

Avant toutes impressions, la première étape est la création des plaques contenant le négatif des motifs, pages… à imprimer. La fabrication de ces plaques s’effectue au CTP (computer to plate). Une plaque en aluminium est insolée pour obtenir un négatif de la forme à imprimer. Ces plaques peuvent être nettoyées puis réutilisées.

Une fois fabriquées, elles sont insérées dans la machine offset pour chaque couleur : CMJN soit cyan, magenta, jaune et noir. Il y a donc autant de plaques que de couleurs présentent sur la machine offset.

Il faut également distinguer deux types d’impression offset : offset feuilles et offset rotative. L’offset feuilles est une impression qui se fait soit avec des feuilles coupées ou bien avec des bobines. Ce procédé est utilisé pour des petits tirages à l’inverse de l’offset rotative qui peut aller à des millions d’exemplaires.

Carnets personnalisés et l’impression offset UV

L’impression UV est une technique qui permet entre autre, l’ennoblissement d’un imprimé. On parle d’impression offset pour l’UV car le procédé reste le même : création de plaques négatives insérées ensuite dans la machine pour chaque encre.

La grande différence avec l’impression offset est dans l’utilisation d’une encre polymérisée qui permet un séchage immédiat grâce à des sécheurs Ultra Violet. On peut également imprimer sur un plus large choix de supports : papier, carton, plastique, toile, pvc, etc.

En faisant disparaître le temps de séchage les imprimeries diminue les zones de séchage. Avec l’UV est également possible d’utiliser des vernis, des encres spécifiques pour donner plus d’effets à l’imprimé. Toutefois, cette technique reste plus onéreuse que l’impression offset traditionnelle.

Carnets à personnaliser et la sérigraphie

sérigraphie - silkscreen printing

Qu’est-ce que la sérigraphie ?

La sérigraphie fait partie des techniques d’impression couramment utilisées en imprimerie. Elle diffère cependant des autres, car elle utilise une fine toile à la place d’un cylindre pour l’impression. La sérigraphie permet également d’imprimer sur tous supports plats ou en volume allant du plus fragile comme la porcelaine ou plus robuste comme le métal.

Son fonctionnement est plutôt simple. Une fine toile tendue sur un cadre, appelée aussi « écran », contient la forme à imprimer. L’encre est ensuite appliquée sur la toile à l’aide d’une racle puis est filtrée par l’écran ne laissant passer que la couleur à imprimer sur le matériau. Un fois que l’encre est transférée, celle-ci est séchée à l’aide d’une lampe à UV. Important, un écran doit être réalisé pour chaque encre d’impression.

Traditionnellement, la sérigraphie se réalise sur des supports plats. Le support et les écrans sont fixes à l’inverse de la racle qui se déplace pour disposer l’encre sur toute la surface. Ce procédé permet de créer des épaisseurs d’encre donnant ainsi plus de contrastes et de textures.

Les écrans peuvent être très petits comme très grands puisqu’il est possible de faire de la sérigraphie sur des grands formats.

Ci-dessous, voici deux exemples d’écrans. A gauche, un écran vierge prêt à être utilisé. A droite, un écran ayant servi pour l’impression d’un motif.

sérigraphie - silkscreen printing

sérigraphie – silkscreen printing

Les possibilités de création en sérigraphie

Grâce au maillage de la toile très fin, il est possible de créer tous types de motifs. Pour bien distinguer les parties à imprimer de celles ne le devant pas, un film plastique vient couvrir les surfaces non imprimables. Grâce à cette technique l’on peut jouer sur des effets de matières.

Egalement, la sérigraphie est un art pour ennoblir les imprimés. Au fil du temps, plusieurs procédés sont venus l’enrichir. Il est maintenant possible d’imprimer avec des encres transparentes, fluorescentes, pailletés… .

Carnets personnalisables et l’art de la dorure

carnets personnalisables - customizable notebooks

La dorure est une technique employée dans la conception des carnets personnalisables. Découvrez cet art qui transforme les matières pour leur donner un cachet unique.

Carnets personnalisables et dorure à chaud

La dorure à chaud aussi appelé « hot stamping », est un procédé permettant l’embellissement d’un imprimé lui donnant ainsi un aspect luxueux. Dans l’Antiquité, cette technique était utilisée pour les objets d’art. Aujourd’hui, elle peut être employée pour des romans, des brochures, des cartes de visite… .

La dorure à chaud permet de marquer tous types de matériaux, que ce soit du papier, du cuir ou encore du plastique. Cette technique s’utilise le plus souvent sur les couvertures des imprimés. Le procédé consiste à transférer la couleur d’un film enduit de pigments sur une surface à l’aide d’un fer chauffé à la forme du motif souhaité. Une colle spécifique appelé « thermofusible » contenu sur le film vient alors fixer la couleur et marquer la forme sur l’imprimé.

La dorure à chaud n’est pas comme son nom l’indique, uniquement de couleur dorée. En effet, les films utilisés peuvent être brillants, mates… avec des couleurs diverses et variées. C’est le cas de carnets personnalisables Mypaperbook qui propose en dehors de l’or, les couleurs argent et noir brillant pour le marquage des couvertures.

Egalement, la dorure peut être combinée avec d’autres techniques tel que le gaufrage pour donner davantage de relief à l’ouvrage.

Carnets personnalisables et dorure sur tranche

La dorure sur tranche est utilisée pour les couleurs sur tranche or et argent des carnets personnalisables Mypaperbook. Comme pour la dorure à chaud, ce procédé consiste à transférer un film de couleur sur la surface souhaitée.

Dans le cadre des tranches d’un ouvrage, il n’y a pas de création d’un fer à dorer afin de marquer un motif. En effet, le film est directement apposé sur les tranches. La colle contenue dans les films vient se fixer sur les bords des pages grâce à la pression et à la chaleur.

Découvrez cette technique de dorure sur tranche avec cette vidéo montrant la fabrication des carnets personnalisables Mypaperbook à la couleur sur tranche argent.

Carnets personnalisés et la chaine graphique en imprimerie

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Les composantes de la chaine graphique

L’on parle souvent de la chaine graphique en imprimerie. On emploie d’ailleurs ce terme dans le processus de création des carnets personnalisés. Alors, qu’est-ce que la chaine graphique ?

La chaine graphique doit être vue comme un concept, une expression au sens large regroupant les différentes étapes de fabrication d’un imprimé. Employé dans les industries graphiques, ce terme permet notamment de lister les professions intervenant de la conception à la réalisation du projet.

Pour mieux cerner les maillons de cette chaine, voici les quatre grandes phases qui la composent :

  • phase stratégique, de réflexion
  • phase de création
  • phase de production
  • phase d’expédition

D’après les auteurs de l’ouvrage « La chaîne graphique », ces quatre grandes phases peuvent elles-mêmes se décomposer en huit étapes :

  • stratégie
  • création
  • image et textes
  • mise en pages
  • prépresse
  • finition et reliure
  • distribution

L’arrivée de l’informatique est venue renforcer cette chaine en facilitant les techniques mais aussi les échanges entre les artisans. Egalement, des logiciels ont permis d’optimiser le traitement des données et des fichiers. Par exemple, la phase de routage est devenue plus automatique avec le publipostage facilitant par la suite l’expédition de mailings.

Cette chaine graphique forme donc un tout, une mécanique en accord avec les métiers pour réaliser les projets confiés.

Carnets personnalisés, leur place dans la chaine graphique

Dans le processus global qui donne naissance à vos carnets personnalisés, les quatre grandes phases de la chaine graphique interviennent différemment en fonction de votre projet.

En effet, pour schématiser ce cycle, découvrez ci-dessous les quatre grandes phases de la chaine graphique pour Mypaperbook :

carnets personnalisés

 

Les deux premières phases n’interviennent donc que dans une production d’un projet spécial. Mais que signifie un projet spécial ?

Un projet devient spécial lorsqu’il sort du processus normé des carnets personnalisés. Par exemple, une création ou des retouches de logos, de visuels, des changements dans les pages intérieures, de la page de garde… . Notre chaine graphique intègre un grand nombre de métiers nous permettant ainsi de répondre à de très nombreuses demandes.

Carnets personnalisés, les couleurs de référence

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Le guide couleur mondial de référence : Pantone

Le guide Pantone est une référence pour de nombreux professionnels. Il est aussi utilisé dans la création des couleurs sur tranche fluos des carnets personnalisés. Mais, que signifie Pantone ?

Pantone est ce que l’on appel le guide de référence de la couleur. Il a été créé en 1963 par Lawrence Herbert qui souhaitait uniformiser la perception de la couleur. En effet, chaque individu interprète différemment la couleur, ce qui peut créer des incohérences dans la perception final.

L’invention donc réside dans la création d’un système d’identification et de classification universel des couleurs. Chaque couleur est décomposée, illustrée puis numérotée dans un document global. Il suffit ensuite de choisir la référence et de l’utiliser. Cela facilite énormément les échanges et la communication pour les professionnels des arts graphiques.

Ces couleurs ont aujourd’hui dépassées la sphère des arts. Elles sont maintenant présentent dans le milieu de la mode, de l’industrie, de l’architecture et décoration d’intérieur… . Ce référentiel évolue sans cesse et propose un large choix pour un grand nombre de domaines. Tous ces éléments en font donc le choix numéro un pour de nombreux professionnels.

Toutefois, ce guide ne fût par le premier. 271 ans plus tôt en 1692, A. Boogert rédigea un ouvrage de 800 pages listant les mélanges possibles en aquarelle. Cet artiste hollandais s’intéressa à la fabrication de la couleur et aux modalités permettant de les obtenir. Pour illustrer chacune de ses créations, il peigna un exemple à côté de la description de la couleur. Ce livre riche se voulait éducatif et pédagogique mais ne fût publié qu’à un seul exemplaire. Cet unique ouvrage est aujourd’hui conservé à la bibliothèque Méjanes d’Aix-en-Provence.

Carnets personnalisés, l’utilisation de couleurs Pantone

La couleur prend tout son sens pour les carnets personnalisés Mypaperbook aux tranches vert fluo, rose fluo, jaune fluo et orange fluo.

Pour ces carnets, une machine spécifique est utilisée pour appliquer, à l’aide d’un rouleau, l’encre sur les tranches. Pour obtenir le meilleur rendu, il faut donc choisir la couleur la plus adéquate pour ce type de technique. Les couleurs Pantone offrent cela et permettent de conserver un visuel flamboyant sur les carnets personnalisés Mypaperbook.

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Les traitements de surface

Lorsque l’on parle des traitements de surface cela implique une modification de l’imprimé. Cette étape permet de donner des effets visuels, du relief ou bien de mettre en valeur une image, un logo.

Un traitement est également fait pour protéger l’imprimé contre l’usure, les accrocs ou pour augmenter leur résistance au pliage (ajout d’un pelliculage).

Voici plusieurs traitements de surface utilisés en imprimerie :

Vernissage
Le vernissage est l’une des techniques la plus utilisée, elle consiste à déposer une couche de vernis sur un imprimé. Il permet de donner des effets visuels (par exemple, vernis sélectif pour faire ressortir des zones bien précises), accélérer le façonnage et faire office de protection. Egalement, il existe trois types de vernis que l’on utilise selon le rendu souhaité : vernis gras offset ou vernis machine, vernis acrylique ou vernis à l’eau et le vernis UV.

Pelliculage
Le pelliculage consiste à appliquer une pellicule plastique sur une page imprimé ou une couverture souple pour les protéger. Outre la protection apportée, le pelliculage est aussi une technique pour embellir un ouvrage. Pour cela, plusieurs variétés de pellicules existent : brillant, mat, gaufré ou texturé.

Dorure ou marquage à chaud
La dorure est une technique purement esthétique. A l’aide d’un fer à dorer (le fer est préalablement gravé à l’image de ce que l’on souhaite apposer) on transfère une couche de matière très fine sur l’imprimé pour un aspect visuel en relief et un toucher unique.

Gaufrage
Le gaufrage est la technique par excellence pour donner du relief à un imprimé. Il peut soit faire ressortir une forme (gaufrage positif) ou bien, donner un aspect enfoncé (gaufrage négatif). Il existe aussi le gaufrage sculptural qui mélange les deux précédents types de gaufrage. Pour réaliser un gaufrage une forme en relief « positive » est pressée contre le papier et contre cette même forme en « négative ».

Carnets personnalisés, la personnalisation des couvertures

Pour les carnets personnalisés, les couvertures peuvent être marquées à chaud ou bien gaufrées. Pour le marquage à chaud, trois couleurs sont disponibles : or, argent ou noir brillant. Quant au gaufrage, il apporte du relief avec une forme en « positif » ou bien en « négatif ».

Ces procédés permettent d’embellir la couverture mais aussi de faire ressortir les éléments apposés. C’est donc un bon moyen de mettre en valeur son image, en exposant le logo de son entreprise sur les carnets personnalisés.

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Carnets personnalisés sous couverture ! 2/3

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La préparation des couvertures

Avant de pouvoir poser des couvertures souples ou rigides, il est nécessaire de les façonner. C’est le cas pour les couvertures des carnets personnalisés Mypaperbook qui subissent plusieurs transformations avant d’être assemblées.

Le recadrage des couvertures : le revêtement de l’ouvrage est massicoté et rogné pour correspondre au format souhaité tout en ayant des bords droits et nets.

La perforation : des trous sont pratiqués sur le produit. Ceux-ci peuvent être de tailles différentes avec un espacement plus ou moins grand. Cette étape est notamment utilisée pour les ouvrages avec spirales cachées et Wire’O.

Le rainage : des plis sur chaque côté du dos de l’imprimé sont accentués pour en faciliter l’ouverture.

Les différents processus de reliure

En fonction du type d’imprimé à réaliser, le processus de reliure va varier.

Dossier avec couverture souple
Après le pliage et l’assemblage des cahiers intérieurs, une piqûre métal est effectuée pour fixer la couverture au reste de l’imprimé. Puis, un massicot tri-lames est utilisé pour égaliser chaque bord du dossier.

Reliure spirale
Après le pliage et l’assemblage des cahiers intérieurs, le massicot tri-lames égalise chaque bord des cahiers. Les couvertures souples ou rigides sont également massicotées au format du document. Pour les reliures Wire’O, des perforations sont ensuite réalisées, puis la pose des spirales et des couvertures.

Ouvrage en dos carré collé ou dos carré collé cousu
Après le pliage et l’assemblage des cahiers intérieurs, le dos du document est encollé. La couverture souple ou rigide est ensuite posée sur ce bloc intérieur à l’aide d’une machine à encoller. S’il s’agit d’une couverture rigide, des pages de garde sont également insérées entre la couverture et le bloc intérieur.

Livre avec reliure cartonnée ou cousu avec une reliure cartonnée
Après le pliage et l’assemblage des cahiers intérieurs, le dos de l’ouvrage est encollé. Le massicot tri-lames vient ensuite égaliser les bords de ce bloc intérieur. Puis, pour la fixation de la couverture, le bloc intérieur est posé dans la couverture qui est ensuite pressée entre des plaques et des fers pour obtenir sa forme. Des gardes devant et derrière sont également encollées.

Pour un livre cousu avec reliure cartonnée, les étapes sont les mêmes à la différence que le dos de l’imprimé est cousu et non encollé.

Pour les carnets personnalisés Mypaperbook en couverture souple, la reliure utilisée est celle du dos carré collé. Quant aux carnets en couverture rigide, il s’agit d’une reliure cartonnée.

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Les deux principaux types de couvertures utilisées

Une couverture est souvent vu comme un moyen de protéger les pages intérieures d’un imprimé. Mais, c’est aussi un atout pour sublimer les écrits et se démarquer d’autres ouvrages. Dans le cadre des carnets personnalisés Mypaperbook, il est possible de choisir entre deux types de couvertures.

Couverture souple : ces couvertures peuvent être de diverses matières (papier, tissu ou même plastique). Elles sont collées à l’aide de gardes ou bien encollées sur le bloc intérieur, sans ajout de carton.

Couverture rigide : on insère pour ces couvertures, un morceau de carton aux dimensions exactes du support. Une machine spécifique découpe ensuite chaque élément de la couverture. Le revêtement papier qui entoure le carton est ensuite fixé au carton.
Pour ce revêtement il est possible de choisir des papiers imprimés ou pelliculés, imitation toile… . Quant aux effets de matières, ils peuvent être donnés en jouant sur des cartons avec des textures et des épaisseurs différentes.

Voici deux autres exemples de types de couvertures :

  • couverture en trois parties ou Multiflex : est basée sur une couverture souple en trois parties ; le dos et deux plats (1ère et 4e de couverture). Ces parties viennent ensuite se coller sur le corps du document qui est préalablement assemblé et cousu. Des gardes sont également posées à l’intérieur
  • les spirales cachées et Wire’O : le bloc du document est tenu par une spirale. Ces spirales peuvent être visibles (couverture Wire’O) ou bien cachées par les plats de couverture. Cette technique permet d’ouvrir complètement le document sans avoir besoin de le plier

Carnets personnalisés, les parties qui constituent la couverture

Les couvertures sont désignées en trois parties :

  • la 1ère de couverture ou plat 1 : sur cette partie on mentionne généralement le nom de l’ouvrage et l’auteur. Pour les carnets personnalisés cet emplacement est dédié à l’apposition du logo ou d’initiales
  • le dos : il peut y être inscrit les références de l’ouvrage, le numéro de l’exemplaire (s’il s’agit d’une collection) … . Pour les carnets personnalisés, le dos reste brut
  • la 4e de couverture ou plat 4 : pour un livre, une BD ou un roman, la 4e de couverture contient principalement le résumé de l’ouvrage. Pour les carnets personnalisés, il est marqué à chaud en bas de couverture « www.mypaperbook.com ». Ce texte peut être enlevé et remplacé par un autre sur demande

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